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Ceux qui militent depuis 30 ans

pour moins d'impôts pour les riches

Moins d'Etat et moins de fonctionnaires

Moins d'acquis sociaux et de dépenses sociales

Plus de compétitivité et de concurrence....

dont E. Macron est l'héritier

Il est clair qu'à l'aune de la pandémie, on a pu vérifier la fragilité et la dépendance de notre pays

En matière de lits d'hospitalisations et de lits de réanimation qui a obligé le gouvernement à nous confiner pendant 2 mois avec les conséquences désastreuses induites sur notre économie (industrie, commerce, ...)

vis à vis de la Chine et des multinationales tant pour les approvisionnements marchandises, médicaments et autres services

Ce système mène notre République dans un état de "république bananière" incapable d'imposer son pouvoir régalien à qui que ce soit.

Pas plus aux multinationales ou ultras riches qui pratiquent allègrement, la fraude ou l'optimisation fiscales au détriment des finances publiques avec le corollaire de l'accroissement de la dette

La République des lumières n'est pas une prostituée qui doit aguicher les investiseurs et donc renoncer, selon les théories néolibérales, à ses préceptes de cohésion sociale que sont EGALITE et FRATERNITE

Qu'aux extrémismes religieux comme l'islamisme qui prospère sur l'abandon de certains territoires par les services publics et ses valeurs

Ou aux promoteurs d'organiser un aménagement du territoire complètement tourné vers la financiarisation du foncier au détriment de la cohésion sociale Républicaine créant ici ou là des ghettos de riches, moins riches ou pauvres, terreau idéal pour le séparatisme dont le dessein est d'abattre les valeurs laïques.

Quand un gouvernement en est à donner de l’argent, notre argent, sans aucunes contreparties, à des entreprises ou des ultras riches pour qu’ils restent ou investissent en France , il ne représente plus la République des lumières, celle qui a fait rêver le monde par ses préceptes Liberté Egalité Fraternité Il n’est plus qu'un instrument aux services des puissants... c’est-à-dire une république bananière

Notons aussi que ces apôtres du néolibéralisme cher à Mme Thatcher ne rechignent pas à faire appel à l'Etat quand il s'agit de couvrir leurs déboires financiers

Ils sont en fait pour la privatisation des bénéfices et la mutualisation des pertes
En d'autres termes les capitalistes font des profits qu'ils ne partagent pas.
Mais ils partagent leurs pertes avec l'Etat, c'est à dire avec nos impôts qui servent à les renflouer

Libéraux avec les profits

Mais Communistes avec les pertes

C'est pas beau le néolibéralisme....!